By Sebastian Boivin

  • Avant 1950, le Québec luttait avec trois problèmes chroniques: un manque de la modernisation, des chemins limités pour l’éducation, et la pauvreté. Autour de 1960, cependant, il y avait un effort politique au Québec pour améliorer son statut économique, éducationnel, et social, aussi bien que l’infrastructure de la province. Au même temps, il était aussi un coup de pouce pour protéger et promouvoir la langue française au Québec contre la majorité anglophone du Canada et l’influence des États-Unis, qui partage une longue frontière avec le Québec. Un aspect qui n’a pas été étudié pourtant, est que les deux mouvements politiques sont liés l’un l’autre. Ce projet explique comment le mouvement de la défense et de la promotion de la langue française au Québec avait une connexion forte avec les autres agendas économiques et sociaux de politiciens progressifs pendant cette époque. Pour le faire, j’ai exploré les témoignages de personnes qui étudiaient des groupes comme Parti Québécois et le Parti libéral, deux partis qui poussaient pour la préservation de la langue française aussi mais qui avaient des ambitions progressives. Avec la collection des études et essais de plusieurs chercheur.euses qui focalisent sur les politiques québécoises pendant la deuxième moitié du 20ème siècle, c’est clair que la préservation de la langue française n’était pas la priorité plus haute des politiciens libéraux au Québec.

    Plutôt, les sujets linguistiques étaient promus très forcément pour appuyer aux français-canadiens pour pousser autres éléments plus importants de leurs agendas. Je soutiens que le but à défendre et promouvoir la langue française était pour gagner le soutien de l’électorat avec une idéologie racinée dans la culture québécoise et après que c’était une réussite, ces mêmes politiciens pouvaient implémenter d’autres initiatives plus importantes.

  • Before 1950, Québec struggled with three major problems: a lack of modernization, limited routes for education, and poverty. Around 1960, however, there was a political effort in Québec to improve its economic, educational, and societal opportunities while developing infrastructure throughout the province. This political movement also aimed to protect and promote the French language in Québec against the anglophone majority of Canada and the influence of the United States, which shares a long border with Québec. This essay explores how the defense and promotion of French in Québec was linked with the economic and social agendas of progressive politicians during this era. It utilizes the testimonies of researchers specializing in groups such as Parti Québécois and the Liberal Party, two parties who pushed for the preservation of the French language also but had progressive ambitions.

    I conclude that while the preservation of the French language was not the highest priority of liberal politicians in Québec, the topic was strongly promoted to appeal to French-Canadians and thus strategically advance the more favored elements of their agendas. The goal of defending and promoting the French language served, in this view, as a mechanism to gain the support of the electorate with an ideology rooted in Québécois culture. The success of their cultural program allowed these same politicians to channel resources to the other initiatives that they deemed more important.

Essai: Un outil politique au Québec pendant la deuxième partie du 20ème siècle

La province du Québec était devenue une anomalie pas seulement au Canada mais aussi dans l’Amérique du Nord entier. Tracé par l’exploreur français Jacques Cartier pendant 1534 pendant son voyage sur la Fleuve Saint Laurent, la région, qui était habitée par les tribus de la Nation Algonquin, tombait sous le contrôle de l’Empire française pendant le 17ème siècle après la fondation de la Ville du Québec à 1608 par Samuel D. Champlain (Jaenen). Alors que Québec devenait plus important à l’empire de France en Amérique du Nord avec le temps, des deux positions économiques et militaires, la population francophone augmentait dans la région comme des colonisateurs français ont commencé à s’installer le paysage et les nouvelles villes comme Montréal. Le contrôle français durait jusqu’aux années 1760, où la victoire britannique sur les Plaines de Abraham dehors de la Ville de Québec était un coup décisif aux forces françaises pendant la Guerre de Sept Ans et ont résulté dans la région tombant sous le contrôle de la règle coloniale britannique. Car l’histoire du Québec étant une partie de l’Empire britannique depuis la défaite de la Guerre de sept Ans, une augmentation de sa population anglaise s’est passée. À cause du contrôle britannique, sa présence majeure dans la confédération primairement anglaise du Canada depuis sa fondation à 1867, et son existence continuée dans le Commonwealth britannique, le français était la langue primaire de la population québécois. Pendant cette histoire de la prévalence de la langue française au Québec, le conservatisme dans le monde politique et l’Église Catholique avait une partie signifiante du contrôle dans la province, son économie était dominée par des corporations anglophones, et les opportunités francophones pour l’éducation plus haute étaient extrêmement limités.

Par conséquence, près d’un demi des habitants québécois étaient considérés pauvre pendant les années suivant la Seconde Guerre Mondiale (Poverty in Canada). Cela a mené à une vague politique progressive à partir des années 1950 au Québec qui poussait pour une revitalisation économique, des améliorations en éducation et en infrastructure, et en production de l’énergie, et la modernisation de la province en général. Ce mouvement est connu comme la Révolution tranquille, où ces initiatives étaient promues et promulgués grâce aux politiciens libéraux du Québec à partir des premières années de la deuxième partie du 20ème siècle car ces initiatives ont développé rapidement juste après que le Parti libéral a pris le contrôle du parlement québécois à 1960. La Révolution tranquille est venue aussi avec l’attention politique focalisée sur les aspects et les aspirations de l’autonomie et l’identité québécoise parce que c’était un mouvement avec une ambition à créer une distinction entre le Québec et le reste du Canada à l’avantage du Québec. Conséquemment, à cause de la dominance de la langue française dans la région, la langue française est devenue une concentration centrale des politiques libéraux au Québec. Malgré le fait que la langue était commune dans les domiciles du Québec, la défense et la promotion de la langue française dans la province est devenue un sujet majeur des initiatives des politiciens québécois. Le sujet de la langue est devenu un outil politique à cause d’une histoire compliqué avec les régions qui partage une frontière avec le Québec. Des politiciens progressifs expliquaient que la majorité anglophone du Canada et l’influence économique des États-Unis et le Canada anglais, parmi autre facteurs, causerait le français à devenir de moins en moins prévalent au Québec. Cet effort politique était pour apporter l’attention aux politiciens libéraux et leur programme mais le débat sur la langue n’était pas leur souci primaire. Donc, la défense, la préservation, et la promotion de la langue française, au contraire aux avis de quelques historiens, politiciens québécois, et gens qui vivait pendant cette époque n’était pas la priorité plus haute des politiciens libéraux pendant la deuxième partie du 20ème siècle au Québec. Plutôt, la défense, la préservation, et la promotion de la langue française étaient promues très forcément pour appuyer aux français-canadiens pour avancer des éléments plus importants de leurs agendas politiques. Une partie de leurs ambitions politiques avec un lien fort à cette ambition était l’économie. Une des plus grandes volontés de la Révolution Tranquille était l’amélioration de l’économie québécoise. « Francophone Québec, prior to 1960, had been attached to tradition, loyalty to the Church, and an elitist view of society and was detached from economic concerns. Now, the orientation was toward the present and the future, the secular, and an egalitarian view of society committed to change and economic control » (Jones 164). Alors que le contrôle politique des Premiers conservatifs du Québec comme Maurice Duplessis limitait leprogrès économique, Premier Jean Lesage et son administration du Parti libéral cherchait à déménager des connexions de politiciens conservatifs, qui était, « allied with both big business and the clergy, » (Ibid. 162) et promouvaient des initiatives alimentées par, « progressive economistes and Québec businessmen working through the local Chamber of Commerce… » qui, « …advocated increased state participation in the economy, » avec le soutien des organisations comme le Conseil d’orientation économique (Taucar 73). Même si certains politiciens avaient la possibilité de simplement promulguer la revitalisation économique de la province, l’utilisation du point de vue politique que la langue française deviendra une langue secondaire au Québec derrière l’anglais était attaché à la condition économique québécoise (Ibid.). En effet, le travail à faire un lien avec des problèmes et leurs campagnes plus vocales de la défense et la promotion de la langue française entre les frontières québécoises est devenu plus facile pour les figures politiques comme Jean Lesage et autres figures de son Parti Libéral. Pour en faire, ils ont dû décrire la langue anglaise, at les gens qui la parlent, comme les adversaires aux français-canadiens et les défis à leur bien-être.

D’abord, la démonstration des différences économiques entre la minorité anglophone plus riche et la majorité française était clé en des efforts à afficher la langue anglaise comme une menace aux français-canadiens. Les politiciens libéraux utilisaient facilement l’histoire de l’Amérique du Nord, et le rôle du Québec dans cette histoire, pour démontrer comment les francophones était marginalisés au Canada et sur le continent. Comme le soulignent Martel et Paquet, « Avec l’ère des révolutions qui se déploie (notamment avec la révolution industrielle et l’émergence du principe des nationalités), la langue comme enjeu politique y acquiert des dimensions spécifiques. Elle traduit les rapports de domination socio-économiques : le développement d’une bourgeoisie capitaliste en Amérique du Nord favorise les locuteurs de l’anglais au détriment des autres, dont particulièrement les francophones, » (Martel et Pâquet 76). Par conséquent la majorité francophone au Québec est tombée derrière la minorité anglophone dans le monde du commerce. Cette tendance persistait à la deuxième partie du 20ème siècle et le Parti libéral pourrait dire que ces inégalités n’était pas seulement un truc du passé. « Par les Années de 1960s, quelques études des différences économiques entre les anglophones et français-canadiens au Québec ont montré des énormes disparités entre le bien-être économiques des deux plus grandes groupes linguistiques du Québec » (Byrne et Carter). Les politiciens québécois progressifs ont donc trouvé une façon à utiliser la défense et la promotion de la langue française dans le lieu de travail pour avancer les statues économiques des français-canadiens à contraster celles des anglophones et s’entremêler leurs politiques sur la langue et la réforme économique.

Les initiatives économiques de l’administration Lesage pendant les années 1960 promouvait la continuation de la langue française dans le lieu de travail en lieu du besoin d’apprendre l’anglais à conformer aux forces anglophones qui dominait le paysage économique. Ces efforts, « would go on to produce blueprints for state strategy to expand and entrench the role of francophone Quebec capital… » dans une économie contrôlée pour la plupart par une monopole d’argent et pouvoir dans un procès de focalisation dont a causé la création d’une nouvelle classe économique plus riche dans le Québec francophone (Taucar 73). Cette promotion du français dans le lieu de travail offrait des nouvelles opportunités à la population francophone du Québec. Les employés au Québec gagnaient les positions plus hautes qui était impossible à obtenir dans le monde économique anglophone. De plus, bien que l’urbanisation et la modernisation soient augmentées rapidement pendant la deuxième partie du 20ème siècle, la quantité de l’assimilation à l’anglais par les habitants québécois était beaucoup moins que plusieurs d’expectations, montrant la réussite économique de la protection du français (Ibid.). La réussite de cette revitalisation pour la population française du Québec, qui comptait sur la coopération entre organisations financières comme le Mouvement Desjardins et la Société Général de Financement et a dirigé à la création de la Caisse de dépôt et de placement, une institution gouvernementale vitale dans l’approvisionnement de la stabilité économique, était une grande victoire politique. (Ibid.). Cependant, ce n’était pas soutenue sans la législation sur l’utilisation de la langue française (Ibid.).

La législation passée par le Parlement québécois pendant les années 1960, malgré leur concentration sur le langage, avait des effets drastiques dans son économie. Loi 101, une proposition polémique proposé par le Parti libéral, avait deux majeurs components, une dont, « requires employers to speak French to employees and publish in French offers of employment or promotions, » et, « The second forbids requiring the knowledge of any other language for a position of employment other than French, » (Ibid. 74). Malgré l’apparence que la loi était ciblée clairement à la protection de la langue française et essayait de réduire l’utilisation de l’anglais sous sa juridiction, le gouvernement pendant cette époque ont passé cette proclamation à l’avantage de l’avenir économique pour ses électeurs (Ibid.). En lieu d’une soumission à la langue anglaise et la population francophone l’a appris, politiciens progressifs essayait d’améliorer les opportunités économiques pour les gens de la majorité francophone par la mandate de l’utilisation de la langue française dans le lieu du travail. Donc, même si la réussite économique était plus importante aux politiciens progressifs de cette époque, qui regardait la place de Québec derrière les États-Unis, dont a vécu, « Une période ayant été identifiée aux États-Unis à une extraordinaire effervescence économique et culturelle, » pendant les années 1950, politiciens réagissaient dans une façon unique (Warren 404). Ils mélangeaient l’effort à protéger la langue de leur héritage et sa promotion avec une réforme économique révolutionnaire. Pour cette volonté de la prospérité économique à obtenir la traction telle et par conséquence continue, pourtant, des changes drastiques dans le système scolaire de la province deviendra nécessaire. Avec ce changement, la protection et la promotion de la langue française sont entrées dans un nouveau domaine : l’éducation.

Avec l’augmentation énorme et rapide de l’économie pendant les Années de 1960’s, il y avait un problème. Si les politiciens du Parti libéral ont voulu une main-d’œuvre francophone dans les domaines de l’économie auxquels la majorité des francophones du Québec ne pouvaient pas accéder avant, ils devaient offrir l’éducation plus haute pour gagner les qualifications nécessaires à travailler dans ses positions. Cependant, Glen A. Jones, le rédacteur de Higher Education in Canada: Different Systems, Different Perspectives, explique que les opportunités d’école secondaire étaient assez limitées avant l’année de 1950 pour les étudiants français du Québec, avec seulement trois universités francophones dans toute la province avant 1955 (Jones 1963). Cependant, avec l’arrivé de la Révolution Tranquille, la Commission royale de l’enquête sur l’éducation dans la province du Québec a été lancé pendant 1963 pour s’occuper de l’énorme problème de l’éducation (Ibid. 164-165). Cette commission trouvait que l’accès était un problème pour plusieurs de sondés dans leur investigation (Ibid. 165). Une façon à ajouter accès était la création des Collèges d’enseignement général et professionnel, connu maintenant simplement comme « Cegeps » (Ibid. 166). Le but de cette nouvelle formation éducationnelle était de « … encourage more Quebec students to continue their education and ...would put higher education on the same footing for French and English students in Quebec, » comme les opportunités pour assister l’université était à l’avantage à la minorité anglaise avant la Révolution Tranquille (Ibid. 166). Pour les politiciens qui étaient occupés avec les ambitions à protéger la langue française au Québec, c’était une innovation géniale. Les Cegeps sont comme le concept aux États-Unis des juniors collèges, où les étudiants qui ont réussi la première, ils peuvent maintenant assister à deux ans de Cegep avant ils assiste une université pour focaliser dans un domaine d’intérêt du travail (Ibid.) La grande majorité de ses nouvelles écoles étaient enseignées en français, alors, ce n’était pas nécessaire d’apprendre l’anglais pour accéder à l'enseignement supérieur, un concept qui suivait les ambitions politiques concernent la préservation de la langue française et les initiatives à créer une nouvelle partie de l’économie francophone (Ibid.). Sans le commencement des Cegeps, qui ciblaient les élèves françaises (Ibid.), la promotion de la langue française était donc critique à l’amélioration du Québec car plus de gens françaises pouvaient recevoir une meilleure éducation. Avec une partie de la population plus instruite, un autre concept que les politiciens progressifs ont connecté avec la préservation et promotion du français avait l’opportunité à développer et gagner le soutien : le concept de l’autonomie.

Avec une jeune population plus instruite, les politiciens, qui voulaient un Québec indépendant ou seulement un Québec amélioré, ont montré qu’il y a un lien entre la préservation de leur langue et l’autonomie. Les politiciens comme Premier Jean Lesage, qui a flirté avec le concept de la succession, a réalisé qu’un lien diplomatique, bien que le Québec soit juste une province dans un pays qui est anglophone pour la plupart, avec la France était nécessaire. Pour gagner le statut d’un pays indépendant, une relation forte avec la France soutiendra leur légitimé car ils sont une nation puissante sur la scène mondiale mais aussi car ils partagent la même langue (Portes 139). La période pour le développement de cette relation, pendant les premières années des 1960s, avant l’arrivée au pouvoir du Président de Gaulle en France, passe au même temps de l’intensification de la Révolution Tranquille, cela est devenu une catalyse pour la préservation de la langue française car les membres de chaque gouvernement ont vu que les Américains et les anglophones du Canada utilisaient le Québec pour leur avantage à la dépense des québécois (Ibid.). En effet, la préservation de français au Québec faisait un résultat des sentiments tribalistes parmi les citoyens québécois car la langue devenait un point de ralliement politique. Donc, quand de Gaulle a dit sa verse très célèbre historiquement dans la province, « Vive le Québec libre » à Expo 67 à Montréal, il avait beaucoup de traction (Ibid. 143). Cette exposition a montré au monde que le Québec non seulement a eu la capacité de devenir une nation, il a eu le soutien parmi sa population. Donc, le lien d’un langage partagé, qui a construit une division avec le Québec et le monde anglais, a donné les résultats de valeur car la population québécoise était soutenue par les ambitions qu’a donné la possibilité pour le Québec à devenir plus puissant. Par exemple, Projet Baie-James, un grand groupe de barrages énormes de Hydro-Québec dans le nord de la province pour créer l’électricité pour le Québec et vendre son énergie à d’autres provinces et aux États-Unis, est un résultat de l’effort à devenir plus autosuffisant. La volonté à être autosuffisant continuait dans le monde d’infrastructure pour rivaliser les États-Unis et le Canada anglais et le statut du Québec est devenu une fierté pour les Québécois, et le langage était quelque chose simple à faire la distinction entre eux-mêmes et toutes les régions qui partagent une frontière avec Québec. Pour les politiciens libéraux du Québec, c’était facile pour eux d’augmenter et amplifier leurs sentiments avec leur défense féroce de la langue française et de continuer à pousser les initiatives qui menaient à un meilleur Québec, comme les travaux sur l’infrastructure et la modernisation.

C’est clair que les initiatives comme celles-là étaient les ambitions plus importantes aux politiciens progressifs au Québec pendant la deuxième partie du 20ème siècle, pas la défense, la préservation, et la promotion de la langue française. Par exemple, Richard Handler, un professeur de l’Université du Wisconsin à Madison, a expliqué ses expériences à des événements local de Parti québécois, qui poussait avidement pour un Québec indépendant et la promotion de la langue française là-bas. Malgré leur rhétorique dans le média de cette initiative, Handler explique à ces réunions dans le quartier de Limoilou, dans la ville de Québec, que quelques des chefs de ses rendez-vous était très de soutien du mouvement pour la nation du Québec, « But members never discussed the national question during meetings, confining their attention to local issues » et il témoigne, « I rarely heard even informal talk about nationalist issues » (Handler 11). Cela démontre que les politiciens, comme les membres de leurs partis, étaient plus concernés avec les problèmes quotidiens de leurs électeurs et le concept du statut de la langage française n’était pas le sujet plus important sur leurs agendas politiques. Cependant, le fait que c’était un sujet très bruyant pendant leurs campagnes et rassemblements politiques ont apporté les résultats à l’avantage du Québec pour entrer le 21ème siècle.

Maintenant, grâce aux politiciens comme Jean Lesage, René Levesque, et autres politiciens progressifs pendant le 20ème siècle qui était bruyant et plein de la passion sur la défense et la promotion de la langue française au Québec mais en réalité cet effort était pour pousser autres initiatives, comme l’amélioration de l’économie, l’éducation, et les développements au Québec qui vient du concept de l’autonomie et l’envie à devenir plus auto-suffisant. Bien que politiciens québécois plus centraux avec leurs vues politiques, comme Premier Ministre du Canada Pierre Elliott Trudeau, qui est la raison principale que le Canada au niveau fédéral est un pays bilingue, focalisaient moins à l’amélioration du Québec et plus sur les efforts à garder le Québec dans le pays du Canada (Bélanger). Les politiciens moins concernés avec le bilinguisme jouaient avec le concept des politiques de l’identité québécois avec la langue française comme quelque chose nécessaire à leur survivance et prospérité, ils pouvaient accomplir plus pour le Québec et ses gens. En effet, le Québec aujourd’hui est une société moderne avec une infrastructure et une économie forte, une population bien-instruite, et un endroit où des industries prospèrent et, à ce jour, le français est la langue plus commune dans la province.

Biographical Statement - Sebastian Boivin

Sebastian Boivin is a senior majoring in French and Political Science (Law & Politics) at UMass Lowell with a minor in Environment & Society. A member of the UMass Lowell Division I Men’s Lacrosse team and Honors College, Sebastian is also Co-President of the university’s French Club and has been inducted in both the National Political Science and French Honors Societies. The combination of these focuses heavily influenced the writing of this paper along with his French-Canadian roots. After UMass Lowell, Sebastian will be attending Elisabeth Haub School of Law at Pace University in the Fall of 2022 to pursue a JD and an Advanced Certificate in Environmental Law as he hopes to have a career as an environmental lawyer.

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